mardi 15 mai 2012

En quoi la mondialisation engendre t'elle des répercussions sur la France ?

Notre problématique étant vaste, nous avons décidées de parlé d’un sujet en particulier qui touche de plus en plus de personne : la pauvreté et la richesse en France.

Il faut savoir, que le niveau de vie médian est de 1 314€ mensuel (en 2004), le seuil de pauvreté est donc à 657€. On peut alors être considéré comme « pauvre » lorsque l’on gagne 60% du revenu médian.  A ce niveau 3,6 millions de personnes soit 6,2% de la population Française, sont en situation de pauvreté.
Cependant, le seuil de pauvreté de 2004 est quasiment équivalent au revenus médian de 1970 : les pauvres d’aujourd’hui sont aussi « riche » que les classes moyennes  d’il y à 35 ans.

Les plus touchés par la pauvreté aujourd’hui sont dans un premier cas, les familles monoparentales (30,2% soit 1,61 millions de personnes). Ceci est dû au fait qu’il y est qu’un seul parent et donc qu’un seul revenu pour subvenir aux besoins de chacun des membres du ménage. C’est alors les enfants qui en subissent le plus les conséquences : 14,5% d’enfants de moins de 18 ans vivent dans des ménages en situation de pauvreté soit un enfant sur sept.
Viennent ensuite les couples avec 3 enfants ou plus (20,7%  soit 1,58 millions de personnes) pour qui il est difficile d’élever, d’habiller, de nourrir… leurs enfants lorsque les revenus ne sont pas élevés pour le couple.
Les personnes seule sont elles aussi touchées par la pauvreté notamment  16,5% d’entre eux soit 1,43 millions de personnes en France. Néanmoins tout dépend de la situation géographique de la personne, de la profession, du type d’habitat,…
Malgré que tout le monde soit censé être égaux, il existe de très grandes inégalités entre les hommes et les femmes (40% d’écart entre les deux). En 2004, le revenu salarial des hommes était de 1 560€ net/mois alors que pour les femmes, il était de 1 110€. Cet écart résulte à la fois d’inégalités de temps d’emploi (temps partiel, chômage), d’inégalités de poste de travail (les hommes accèdent à des postes de responsabilité plus élevé) et d’inégalités de taux de salaire (à qualification égale, les femmes sont moins payées).
Enfin, les jeunes sont aussi très touchés par la pauvreté. Il est très difficile pour eux d’avoir une situation financière stable, de plus en plus de jeunes ont recours à l’aide alimentaire, à l’aide au logement et ils ont un accès difficile aux soins, … Ils sont également très touchés par le chômage et ont un accès difficile aux études supérieures par manque de moyens financier.
La France est sous investi en enseignement supérieur, les universités souffre d’un manque d’autonomie et de confiance. Mais tout de même, la mondialisation va au profit des étudiants, comme les grands chercheurs « les têtes savantes », les scientifiques qui vont étudier dans les grandes écoles afin de se perfectionner, d’échanger et découvrir de nouvelles cultures.

            La mondialisation contribue de plus en plus au chômage par la délocalisation des entreprises Française ce qui entraine une baisse de la productivité. Par exemple en dix ans seulement 2 biens sur 22 ont eu une forte croissance pour la France : l’automobile et les équipements mécaniques  alors  que pour l’Allemagne, 14 biens sur 22 sont en augmentation.
La France perd également des parts de marché au niveau mondial au profit de pays industrialisé notamment l’Allemagne. De plus la France voit ses petites entreprises en perdition et les grandes entreprises telles que les multinationale vont de l’avant et détiennent le pouvoir et les richesses. Le système financier Français est endetté ; les entreprises ne veulent pas prendre le risque de faire de gros investissements notamment en recherches et développements  par peur de s’endetter. On peut donc constater que la France ne semble pas profiter de la mondialisation autant qu’elle le pourrait, elle doit alors, pour s’intégrer s’investir beaucoup plus en innovant et en créant de nouveaux produits.
Aujourd’hui il faut s’adapter à une nouvelle société qui est de plus en plus canalisée sur le Web : outil ouvert à tous. Il favorise l’individualisme avec les réseaux sociaux et permettent de redéfinir le lien social.

Pour conclure,  la France doit mettre les atouts de son côté et voir les bons côtés de la mondialisation ce qui pourrait lui permettre d’avoir accès à d’avantage de capitaux et ressources technologiques, des importations moins couteuses, une diminution des coûts de transport et communication mais aussi de tirer partie de marché plus vaste dans le monde. La France doit changer d’échelle en prenant sa place dans la grande puissance qui est l’union Européenne. Il faut changer les mentalités. L’école doit porter les jeunes vers la créativité plutôt que vers la mémoire.
« C’est le génie vivant des peuples qui assure leur prospérité ».




Barbara et Morgane

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